Pour le moment, la situation reste incertaine. Depuis ce matin, mardi 7 octobre, plusieurs stations-service de la capitale, Conakry, ainsi qu’une partie de la préfecture de Dubréka, sont fermées ou non opérationnelles.
Cette pénurie commence déjà à perturber la circulation dans la ville, tout en offrant une opportunité aux vendeurs parallèles, qui revendent le litre d’essence à des prix exorbitants, pouvant atteindre jusqu’à 15 000 FG.
À rappeler, aucune communication officielle n’a été émise par les autorités en charge des hydrocarbures, bien que la situation sur le terrain soit manifeste et préoccupante.
Aliou Maci pour Walpmedia.info