Les violences sexuelles sont devenues récurentes en Guinée ce dernier temps et pire même dans les établissements scolaires des petites filles sont violées et d’autres tuées. C’est le cas de M’mahawa Camara et Aicha Bah la première à Kagbélen et la seconde dans la commune urbaine de Dubreka.
Face à cette situation les ONG de défense de droits humains tirent la sonnette d’alarme et invitent les autorités à prendre à bras le corps le problème.
Devant un groupe de journaliste Fatou Hann Souare Bah invite le ministère de la sécurité de veiller à la sécurité des établissements scolaires
<< Aujourd’hui le souci majeur que nous rencontrons et d’ailleurs même l’OPROGEM c’est la question de ressource. Nous sommes des ONG et forcément on a des limites, quoi qu’on fasse l’Etat est le plus puissant.
Donc c’est lui qui doit prendre à bras le coprs ce problème.
Les acteurs doivent avoir des moyens.
L’OPROGEM oui mais au-delà le ministère de la sécurité et d’autre département doivent prendre le taureau par les cornes et mettre en places des dispositifs qu’ils vont choisir pour sécuriser les écoles>>a-t-elle dit avant de renchérir
<< C’est inadmissible qu’aujourd’hui que ces enfants aillent à l’école et qu’on appelle leurs parents pour leur dire qu’ils sont morts à l’école et de surcroît assassinés c’est inadmissible pour un pays comme la Guinée>>a-t-elle laissé entendre.
Walpmedia.info +224 622903524